Samedi 1 octobre 6 01 /10 /Oct 01:36
- Par x-DDM-th-x

sooner or later

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Mardi 25 octobre 2 25 /10 /Oct 22:42
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : OS Tokio Hotel

Tom se regarda dans la glace. Il était ridicule. Il avait l'impression d'être ligoté tellement ses habits étaient collés à son corps. Il regarda son armoire contenant ses baggys et ses grands T-shirt avec désespoir.

« Choupi, c'est vraiment nécessaire ?
- un pari est un pari mon lapin. »

Il se retourna vers Bill. Contrairement à Tom qui devait porter un slim et un T-shirt près du corps pour un pari, Bill en portait quotidiennement. Et ça lui allait à merveille.

« Tomi, tu m'avais promis ! Et puis, j'ai bien porté tes habits une fois.
- mais jamais au bahut.
- Et alors ? Je te trouve ... »

Bill se colla à Tom et, tout en glissant sa main contre son ventre musclé, approcha sa bouche de l'oreille du tressé.

« ... affreusement excitant.
- T'es méchant. Utiliser mes points faibles pour arriver à tes fins, c'est pas cool.
- je suis sûr que tu adores. »

Le noiraud s'était légèrement écarté, de manière à être face à Tom. Ses lèvres se posèrent contre celles du tressé.

« Hum, peut-être. Il me faudrait un peu plus pour me prononcer.
- Plus tard, on va être en retard. »

...

« Alors Tom, tu as dormi chez Bill à ce que je vois »

Georg avait été, comme tout le monde, très étonné de voir Tom en slim noir, T-shirt moulant, plus ceinture et collier à clous et bracelet à tête de mort. Tom et Bill avaient pourtant l’habitude de déranger, voire choquer les élèves de leur lycée, à force de se comporter comme un couple. Même s’ils avaient déjà couché ensemble, ils ne se considéraient pas comme tel. Il n’y avait pas d’amour entre eux, juste une amitié sans faille, fusionnelle.

« Non, c’est lui qui a dormi chez moi. Et j’ai pris mon pied. Tu veux aussi un détail de ce qui s’est passé ou tu me laisses tranquille ?
- Oh mon lapin !!! »

Bill sauta sur Tom pour le prendre dans ses bras. Il était vraiment de mauvaise humeur d’avoir dû s’habiller comme Bill pour le lycée.

« D’ailleurs j’ai une surprise pour ce soir. Alors pense à la récompense. »

A ces mots murmurés à son oreille, Tom se calma. Bill savait exactement quoi lui dire pour le calmer, ou au contraire pour l’exciter. Il faisait exactement ce qu’il voulait de lui. Même si Tom était toujours en colère, la présence de Bill contre lui l’apaisait. Et surtout, la surprise de ce soir le travaillait. Il savait par expérience qu’il pouvait s’attendre à tout. Cela faisait longtemps qu’il avait arrêté de compter le nombre de fois où il s’était retrouvé attaché, dans telle ou telle position. Mais il adorait ça.
Ils se séparèrent, gardant leurs mains liées, à l’entente de la première sonnerie. Les cours ne commençaient que dans quinze minutes pour eux, mais ils devaient traverser tous les bâtiments. Ils marchaient à travers les couloirs, sans trop se presser, quand Bill éclata de rire.

« Qu’est-ce qu’il y a Choupi ?
- rien, mon lapinou. »

Tom était plongé dans ses pensées, Bill le dirigeait plus ou moins dans les couloirs, mais il entendit, peu de temps après, Georg puis Gustav pouffer de rire. Il tourna la tête vers eux, un air interrogatif sur le visage, ce qui ne fit qu’amplifier l’envie de rire des deux jeunes hommes. Bill, quant à lui, avait un sourire victorieux, presque machiavélique. Il laissa tomber pour continuer de réfléchir à la surprise de ce soir. Il avait la drôle intuition que Bill ou lui allait finir habillé en fille pour un striptease. Il était en train de s’imaginer Bill en habits de soubrette quand il fut plaqué violemment contre le mur à coté de lui par le noiraud, qui commença à embrasser le tressé juste en dessous de l’oreille.

« Bill, non. On peut pas … »

Bill attrapa le col du T-shirt que portait Tom puis le tira pour venir embrasser la base du cou, et de sa main libre, caresser la hanche en remontant lentement sous le T-shirt. Tom essaya de repousser Bill. Il était gêné des caresses du noiraud, surtout que Gustav et Georg n’étaient pas loin, et les regardaient. Mais il ne pouvait résister à Bill dont la main avait lâché le col du T-shirt pour rejoindre l’autre sous le tissu.
Après un coup d’œil de chaque coté du couloir, Bill se baissa pour embrasser le ventre de Tom, l’une de ses mains parcourant l’intérieur des cuisses du tressé, l’autre faisant descendre légèrement le pantalon slim déjà bien bas et le boxer. Le noiraud continua ses baisers sur cette zone nouvellement offerte, léchant et suçotant la peau. Tom gémissait et haletait le plus silencieusement possible quand il ne suppliait pas Bill d’arrêter ses caresses.
Il commença à paniquer quand il sentit que la main du noiraud remontait de plus en plus près de son entrejambe.

« Choupi, pas maintenant, pas ici … Georg ... et Gus … »

Bill, tout en continuant son suçon sur l’aine de son lapin, parcourut la cuisse de Tom en imitant des pas du bout des doigts jusqu’à la fermeture éclair du jeans. Il sentit clairement l’érection du tressé sous ses doigts, et s’amusa à passer ses doigts de la même façon dessus. Puis il attrapa le curseur de la fermeture éclair, joua quelques secondes avec. Et, à la stupeur de Tom, le remonta. Le noiraud se redressa, embrassa Tom en surface et recula d’un pas.

« Maintenant que tu es correctement habillé, on peut aller en cours » dit-il, le sourire aux lèvres.

Tom restait adossé au mur, essayant de respirer normalement. Mais son érection ne l’y aidait pas. Il tourna la tête vers Bill, choqué. Gustav, que Bill avait mis au courant ainsi que Georg, interrompit net les insultes qui allaient fuser de la part de Tom.

« On préviendra le prof, il commence à avoir l’habitude maintenant. Bill, quinze minutes de retard ?
- On ne sera pas là de tout le cours.
- ça marche. Et toi, occupes-toi de la bite rude »

Georg éclata de rire, très fier de son jeu de mot, et, accompagné de Gustav, s’éloigna jusqu’à disparaitre au bout du couloir.
Bill avait agrippé la main de Tom et courrait en sens inverse, le tirant jusqu’aux toilettes les plus proches. Dès qu’ils furent enfermés dans la plus grande des cabines, ils se déshabillèrent totalement. Bill était aussi impatient que Tom. Le voir complètement soumis contre ce mur, avec leurs deux amis qui se rinçaient l’œil, l’avait excité à un point inimaginable.

« A genoux, mon lapin »

Tom obéit immédiatement à l’ordre prononcé par Bill. Ce dernier se baissa puis finit par s’allonger sur le dos, la tête entre les cuisses du tressé.

« A quatre pattes, maintenant … C’est bien »

La deuxième sonnerie retentit, alors que deux langues parcouraient des sexes tendus et que deux doigts taquins pénétraient l’intimité d’un jeune homme tressé.

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Jeudi 15 décembre 4 15 /12 /Déc 23:02
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : OS Tokio Hotel

« Eckstein, eckstein - alles muss versteckt sein
Eckstein, eckstein - alles muss versteckt sein »

Je pose mon livre, enlève mes lunettes et attrape mon natel.

« Oui allo ?
- Salut Gustavounet chéri !!
- Bill, quand arrêteras-tu de me donner des surnoms débiles ?
- Jamais. »

Il est désespérant. Chaque fois que je le vois, il se jette à mon coup comme si cela faisait des années que nous ne nous étions pas vu, même quand on s’est lâchés une heure pour aller dans deux magasins voisins. Et j’ai le droit à chaque fois à un surnom différent, tous plus idiots les uns que les autres. L’homo efféminé typique. Mais il en joue, parce qu’en vérité, même s’il est réellement homo, j’ai rarement vu plus viril que lui.

« Alors quoi de neuf Gusti ?
- rien de spécial et toi ?  
- J’ai passé la journée d’hier avec Tom, c’était trop cool. Je rentre à l’instant.
- Tom ? C’est qui lui ?
- Le mec avec les tresses. Je t’ai montré une photo l’autre jour.
- ah celui qui joue de la guitare ?
- ouaip, celui là. Je me suis enfilé un délicieux cordon bleu. Un régal. »



Bill plaqua Tom contre le mur de sa chambre. Les mains du tressé vinrent retirer la veste du noiraud puis glissa sous le T-shirt pour caresser la peau diaphane. Les T-shirts atterrirent bien vite par terre. Tom les guida jusqu’au lit et poussa Bill dessus. Leurs bouches se rejoignirent ainsi que leurs langues, commençant un délicieux ballet. Leurs pantalons prirent le même chemin que les hauts, ainsi que leurs boxers. Tom rompit le baiser pour embrasser et lécher le cou et le torse de Bill qui se soulevait, tandis que ses mains allèrent caresser le sexe dressé du noiraud. Il continua de descendre.
Bill se cambra en sentant les lèvres de Tom autour de son sexe. Le piercing qu’il avait au labret et la langue parcourant sa verge lui faisait perdre la tête. Quand il se sentit près de la jouissance, il attrapa les tresses de Tom et lui tira la tête vers l’arrière. Tandis que le tressé remontait pour l’embrasser, le noiraud tendit la main vers la table de nuit et sortit de celle-ci du lubrifiant. Tom s’empara du tube et en étala sur le sexe dressé de Bill, qui frissonna, puis en le tenant d’une main, le fit glisser dans son intimité.

« Humm Tom … »

Les mains appuyées derrière lui, Tom commença à bouger son bassin, aidé par Bill qui, les mains sur ses hanches, le soulevait, accompagnant ses mouvements de bassin. Le noiraud, trouvant que Tom n’allait pas assez vite et voulant l’embrasser, se redressa et les fit rouler de manière à être au dessus.
Il commença à bouger en Tom, sa bouche butinant son cou, sa mâchoire puis ses lèvres. Leurs langues se rejoignirent. Le baiser était tendre malgré les coups de bassin qui étaient de plus en plus puissants et rapides. Bill accéléra encore la cadence de ses coups de reins, jusqu'à ce qu'ils atteignent tous deux la jouissance.
Bill se retira et se laisser tomber à coté de Tom. Ce dernier vint se coller contre le noiraud, et ils sombrèrent dans le monde des rêves.



« Hé Gusti tu m’écoutes ?
- Oui, oui. Désolé. Je suis un peu fatigué. 
- C’est pas grave Choupi. Bon, comme je te disais, j’ai jamais aussi bien mangé. Le meilleur cordon bleu que je n’ai jamais gouté. Tom est un vrai Dieu en cuisine. En dessert, il avait fait une glace au Nutella. C’était juste divin. »

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La chanson servant de sonnerie à Gustav est Augen Auf du groupe Oomph!

 




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Vendredi 16 décembre 5 16 /12 /Déc 00:14
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : OS Tokio Hotel

Je suis dans ce cimetière en ce jour de septembre, un bouquet à la main. Il fait beau, mais je suis frigorifié. Je ne cesse de penser à toi, à ces moments qu’on a passé ensemble. Quand on se disputait pour savoir qui pourrait avoir le reste de pâte à gâteau, quand on jouait ensemble aux cartes, planqués sous les draps. Tous ces moments heureux que je veux garder à jamais en mémoire.

Dans mes souvenirs tu rigoles et tu fais tourner la terre ...

Je revois encore tes sourires, et tes pleurs quand tu as avoué m’aimer, la peur d’être rejeté que je pouvais lire dans tes yeux et au fond de moi. Je ressens encore le bonheur que j’ai eu quand je t’ai embrassé, puis séché tes larmes. Ton odeur me suit partout où je vais, comme si tu étais toujours là à mes côtés, à plaisanter et à rire de mes mauvaises blagues. Toutes les nuits, je rêve de me réveiller à tes cotés, tes cheveux chatouillant mon torse, ta peau laiteuse collée à la mienne. Et chaque matin, je me réveille en pleurs, voulant juste me rendormir.

Et ça ne suffira pas à me faire oublier
Que tu n'es plus …

Je me sens si mal, si tu savais. J’ai l’impression de n’être plus qu’une ombre, un fantôme. Chaque jour me semble plus long que le précédent. Je n’ai plus personne à qui me confier. Tu étais le seul à me comprendre vraiment. Comment faire comprendre à nos amis que je ne vis plus, que je suis mort en même temps que toi, en ce jour maudit ?
Plus j‘y repense, et plus je me dis que je suis responsable. Maman me le répète à chaque fois qu’elle passe me voir. C’est pour me voir au plus tôt que tu as dépassé les limites de vitesse, ne voyant pas assez vite le virage, et que tu es sorti de la route, ta voiture allant s’encastrer dans un mur.
Tu me manques tellement, mon petit ange. Je passe parfois des heures couché dans l’herbe, à regarder les étoiles, comme on le faisait si souvent. A chaque fois je repense à cette phrase qui te tenait tant à cœur. « Un jour, je deviendrais ton étoile ». Et je répondais inlassablement que tu l’étais déjà, que tu étais mon repère dans la nuit. Et à chaque fois je me retrouve en pleurs, essayant de croire que tu veilles sur moi de là-haut.

Apprends-moi à croire que t'es devenu mon étoile.
Mon ange, ma lumière
Mon intime repère

Je t’aime tant, Bill. A un point inimaginable. Je ne pourrais jamais aimer quelqu’un d’autre que toi. Tu étais ma moitié, et tu le seras toujours. J’aurais pu sacrifier ma vie pour toi, de la même façon que nous n’avons pas hésité à sacrifier nos amis et notre famille pour pouvoir vivre cet amour interdit. Maman nous a traités de monstres, nos amis nous ont abandonnés, mais je n’ai jamais cessé de t’aimer.
Depuis que tu n’es plus là, je ne fais que survivre. Je vis pour toi, pour notre amour. Je t’ai promis de ne pas me tuer si tu venais à mourir. Mais je n’aurais pas pensé devoir honorer ma promesse aussi vite. Je dois vivre sans toi, alors que nous avons été ensemble avant même notre naissance. Mon frère chéri, mon double, mon amour. Si seulement tu étais encore là …

Si seulement j'avais su
Que tu me manquerais autant
Je t'en aurais voulu de t'aimer tant
Apprends-moi à croire qu'on oublie d'avoir mal …

Je t’aime mon ange …

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Vendredi 16 décembre 5 16 /12 /Déc 01:07
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Miroir

Je dois me dépêcher. Mélodie veut que je l’aide à réviser. Pourtant ce n’est pas compliqué, ces exams d’entrée pour cette école. Mais elle stresse, et je dois donc lui réexpliquer les choses les plus basiques à ne pas oublier. Et sous prétexte que j’ai fini mes études, et que je fais une formation de professeur dans son école, je suis devenu le prof officiel de ma sœur adorée. Maman lui avait promis de l’aider, mais elle est en voyage depuis plusieurs mois avec papa. Ils finissent le tour du monde qu’ils avaient commencé étant jeunes et qu’ils ont dû arrêter quand je suis venu au monde.
J’arrive devant notre maison. J’ouvre la porte, m’attendant à voir une tornade brune se jeter sur moi pour m’engueuler à cause de mon retard. Tout est silencieux. Elle doit être plongée dans ses bouquins. Je me débarrasse de mon sac, ma veste et mes chaussures et profite du calme pour aller boire quelque chose. Je reprends mon sac et vais le poser dans ma chambre pour ensuite entrer dans celle de ma sœur. Elle est assise à son bureau, mon cahier de notes ouvert devant elle, sûrement en train d’essayer de décrypter mon écriture.

«  Mel’, je suis là.
- Ce n’est pas trop tôt. J’ai plein de questions à te poser, mais surtout un truc. Aide-moi à te déchiffrer. »



« Et là tu dois multiplier par quoi pour obtenir ce résultat ? »

Je sens un coup sur mon bras. Je me tourne vers ma sœur.

«Désolé Mel’, mais j’ai mal dormi.
- Encore un rêve.
- Oui. Toujours le même.
- Racontes-moi.
- Je suis face à un grand miroir. A chaque fois, je ressens comme ... une noirceur, une tristesse émanant du miroir.
- Et il n’y a personne avec toi ?
- Non. Je fixe mon reflet. Mais au lieu de me voir, Je vois … je ne sais pas vraiment l’expliquer. Comme si je voyais quelqu’un qui me ressemble, mais pas tout à fait. Mon reflet est complètement inexpressif, comme mort.
- Je vois. Et qu’est-ce qui est si horrible ?
- Plus je fixe le miroir pour essayer de comprendre, plus le miroir se ternit puis finit par se briser, et là je me réveille. »

Mélodie me prend dans ses bras. Je respire profondément.

« Bon alors cette géométrie. Il te suffit de multiplier par cette valeur. Tu dois toujours te baser sur le schéma pour savoir quelle valeur utiliser. Si tu sais lire et dessiner un schéma, tu n’auras aucun problème.
- Parce que toi tu arrives à t’y retrouver sur ce gribouillis ? Je comprends comment tu fais pour ne jamais perdre tes affaires dans le bordel de ta chambre. »


Bon c'est pas le grand truc super classe, mais ce n'est que le premier chapitre. Pas de prologue pour cette fic, trop la flemme
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