Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 00:16
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Miroir

« Mélodie, dépêche-toi ! Loïc m’a demandé de venir plus tôt pour pouvoir organiser la salle.

- Je te rappelle que j’ai une cinquantaine de croissants, 3 plats de pâte à crêpes, un four à crêpes, Nutella, confitures, sirop d’érable, miel, fromage et jambon. Plus les couverts, les assiettes en carton et les verres en plastique. J’aurais pu dormir ce matin ! Je commençais à 10 heures.

- Tu te serais couchée plus tôt, tu n’aurais eu aucun problème à te lever ce matin. Et je demanderais si tu peux venir chercher des crêpes pour manger.

- Comme ça je pourrais voir Tom.

- Mais bien sûr. Quand tu auras compris que je ne l’aime pas, tu me diras. Mais je suis sûr que tu l’as déjà croisé.

- Peut-être. Si tu me le décrivais …

- Non. Et si tu dis quelque chose à Loïc, je te massacre. C’est clair ?

- Oui c’est clair.

 

On arrive devant la salle. La porte est déjà entrouverte. Ayant dans les mains deux fours à crêpes, je la pousse avec mes pieds.

 

« Hello ! »

 

Tiens, il n’y a personne. Je pose mes fours sur le bureau et prend celui de Magaly pour le mettre avec.

 

« On va poser ça sur la table là-bas. Vu que je ne sais pas comment Loïc veut s’organiser. »

 

On pose tout sur une table un peu à l’écart et quand on a fini, je m’installe sur une table du premier rang tandis que Mel s’assied derrière le bureau.

 

« Tu vas donner quoi comme cours aujourd’hui ?

- Hum, français, maths et biologie moléculaire.

- De la biologie moléculaire ?

- Oui, tu en auras en 3ème année, enfin si tu prends l’option biologie. Et je pense que tu vas aimer. C’est principalement tout ce qui concerne l’ADN.

- Mouais ça peut être cool. Moi je sais que je vais avoir un stagiaire pour la littérature parce que ma prof est absente, mais ce ne sera même pas toi.

- Comment tu sais ?

- Bah les profs me l’auraient dit. Je peux prendre un croissant ? Je meurs de faim.

- Sers-toi, j’en ai pris en plus. »

 

Elle vient s’asseoir sur la table à coté de la mienne. On discute, rigole. Un petit moment de détente avant l’Enfer. Je ne sais pas comment ça va se passer avec Tom. J’espère que tout ira bien. J’entends des coups contre la porte et vois Tom rentrer dans la salle.

 

« Bonjour Tom, ça va ? »

 

Je vois Mélodie stopper tout mouvement. Je la frappe discrètement pour la sortir de ses pensées.

 

« Bien et toi ? Pas trop stressé ?

- Mort de trouille.

- Bon moi je dois aller aider des filles de ma classe pour les maths. N’oublies pas de demander pour midi, me rappelle-t-elle.

- Non ne t’inquiète pas. Dès qu’il arrive, je lui demande et t’envoie un message.

- Ciao. »

 

Elle m’embrasse sur la joue et part, sans m’avoir donné une tape sur les fesses et m’avoir envoyé un clin d’œil une fois arrivée vers la sortie.

C’est officiel : Je la déteste.

 

« Tu veux un croissant ? 

- Volontiers. »

 

Je lui passe le sachet.

 

«  En fait, je voulais m’excuser pour la dernière fois. Tu as dû me prendre pour un malade mental. Mais j’avais passé une mauvaise journée, et presque pas dormi de la nuit.

- Je me suis demandé ce que tu avais, j’avoue. Mais y’a pas de problème. Ça m’arrive aussi de ne pas être de super humeur. »

 

Tom me repasse les croissants. J’en prends un.

 

« En tout cas tu as pris assez de choses pour manger.

- Bah vu qu’on va manger des crêpes, je me suis dit qu’il valait mieux prendre de tout. Loïc va amener les boissons, et encore d’autres garnitures. Mais j’ai eu de la chance que ma sœur commence à la même heure que moi, elle a pu m’aider à porter.

- J’ai bien pensé que c’était ta sœur, vous vous ressemblez beaucoup.

- Elle a aussi le même caractère, et surtout le don pour me mettre en rogne et me pourrir la vie.

- C’est une petite sœur aussi, il ne faut pas trop en attendre. »

 

J’entends soudain des appels du couloir. Nous nous levons et allons voir ce qu’il se passe. Loïc est sur un pied, retenant comme il peut un pack de limonade avec son pied levé et une de ses mains, et essayant de garder l’équilibre avec l’autre pack qu’il tient. Tom éclate de rire.

 

« Très jolie pose Loïc. Tu devrais faire du cirque en tant que clown.

- Tu as besoin d’aide ? lui demandé-je, le sourire aux lèvres.

- Oh non, j’ai juste la lanière du pack qui m’a pété dans la main, et je suis à deux doigts de tomber, mais tout va bien.

- Ok alors on te laisse amener tout ça dans la salle. »

 

J’attrape Tom par le poignet et le tire dans la salle. Dès que nous sommes assez loin, je le lâche.

 

« Il ne va pas … Tom a l’air un peu inquiet, même s’il garde le sourire.

- shh !! Un … deux … trois

- Espèce d’enfoiré ! Ramène tes fesses ici et aide-moi au lieu de te foutre de ma gueule ! Tu vas me le payer, sale gamin ! Je vais transformer ta touffe en crâne d’œuf ! »

 

Je retourne dans le couloir et prend le pack de limonade. Je vois qu’il a encore un sac sur l’épaule. Je le pose en dessous de la table.

 

« Tu connais l’ironie, Bill ?

- Oui. C’est une figure de style que tu as de la peine à maîtriser apparemment. Autrement j’aurais compris tout de suite que tu avais besoin d’aide. »

 

Je reprends mon croissant et lui en tend un. Peu de temps après, les autres personnes de la classe arrivent. Je fais la distribution de croissants en disant bonjour. Je discute avec un petit groupe de gens. Enfin ils me questionnent. Ils trouvent toujours étonnant d’avoir un professeur aussi jeune. L’un deux me dit même que son fils a mon âge. J’entends la sonnerie. Tout le monde se met en mouvement, et s’installe. Chose qui aurait été impossible avec une autre classe. Allez, c’est parti pour deux périodes de mathématiques.

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Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 00:17
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Miroir

Les deux périodes viennent de finir. Cette fois-ci, Tom a participé, il s’est même assis tout devant, ce qui m’a étonné. Je ne le voyais pas vraiment en premier de la classe, mais il faut avouer qu’il assure en maths.

Je branche les fours à crêpes que j’ai posés sur le bureau tandis que Loïc distribue les boissons puis les assiettes et couverts. Je vois Tom venir à coté de moi, un plat de pâte à crêpes dans les mains.

 

« Un petit coup de main ?

- Volontiers. Gérer trois fours risque de ne pas être facile. »

 

On commence à étaler la pâte sur les fours, essayant de suivre le rythme imposé par les gens affamés. Dès qu’il y a un moment de calme, je me prépare des crêpes. On entend soudain des coups contre la porte. Un des élèves près de celle-ci l’ouvre. Je vois Mélodie entrer dans la salle.

 

« Tu étais sensé m’envoyer un message !!

- Ah merde j’ai complètement oublié de lui demander. Désolé. »

 

Je me tourne vers le fond de la salle où se trouve Loïc.

 

« - Loïc, je devais te demander si Mélodie pouvait venir manger avec nous. Mais j’ai oublié.

- Non. Si tu m’avais demandé avant, elle aurait pu mais là … Non, je plaisante. Bien sûr qu’elle peut venir.

- Merci. »

 

Je lui prépare quelques crêpes. Elle reste à discuter avec Tom et moi. Je sens quelques regards sur nous, mais je ne m’en préoccupe pas plus que ça. Enfin je peux comprendre, on ne fait que rigoler. Je ne vois pas le temps passer. J’entends soudain la sonnerie annonçant la fin de la pause déjeuner. Je vois soudain Mélodie paniquer.

 

« Merde je vais être en retard. Ciao à ce soir. »

 

Elle m’embrasse sur la joue, fait la bise à Tom et part en courant. Je commence à ranger le bureau pour recommencer à donner les cours. Loïc me fait un signe d’arrêter de ranger.

 

« Ça vous dit qu’on fasse sauter une période de français ? J’ai juste un test à vous rendre et je prévoyais de le corriger en classe pendant la 1èrepériode. Mais j’ai la flemme. Alors je vous les rends, et ceux qui veulent viennent me demander. »

 

Des cris de joie résonnent dans la salle. Loïc fait le tour de la salle pour rendre les tests en vociférant comme quoi s’il y a la case nom/prénom ce n’est pas pour rien et que si ça continue il enlèvera des points à ceux qui oublient, et arrive finalement vers Tom et moi. Tom a fait la meilleure note de la classe. Il n’y a que quelques erreurs dans son test. Je m’en rappelle car je l’ai corrigé, mais il fait partie des personnes qui n’ont pas mis leur nom. Quelques personnes viennent vers moi pour que je les aides après que Loïc se soit énervé contre la quinzaine de gens venus lui demander quelque chose.

 

« Mais en fait tu vas enseigner toutes les branches ?

- Presque. Il n’y a que les langues, la gymnastique, l’histoire et la géographie que je n’enseignerai pas.

- Ce n’est pas un peu trop ? Parce que avec toutes les sciences et le français …

- Non ça va. Moi j’aime l’idée que je puisse aider mes élèves sur autant de sujets. Surtout dans les branches scientifiques. Tu peux faire de la chimie en biologie, par exemple, et si tu n’as pas compris la chimie, t’es dans la merde. Alors que là, je pourrais les aider, même si c’est quelque chose d’une autre branche.

- Et si l’élève n’arrive pas à comprendre tes explications, qu’importe la branche, tu fais quoi ?

- Sympa, ça me rassure vraiment. Mais dans ce cas-là, on va dire que je suis dans la merde.

- Je plaisante. Je ne pense pas que ça t’arrivera. Tu expliques vraiment bien. Et on voit que tu es passionné. Même si on n’aime pas spécialement la branche, on t’écoute. Parce que tu es intéressant.

- Merci

- Et je ne te le dis pas juste pour te faire plaisir. Je préfère quand c’est toi qui donne les cours, plutôt que Loïc. »

 

Je sens le rouge me monter aux joues. Je détourne le regard, et finalement me lève pour aller me resservir un verre de soda.

 

« Tu étais déjà ici l’année passée ? Je ne t’ai jamais croisé je crois.

- Non j’étais dans une autre école. Mais … c’était plutôt axé sur les langues et surtout l’allemand et il n’y avait presque pas de sciences. Alors j’ai demandé à venir ici. Là je suis servi. Mais c’est vraiment ce qui m’intéresse.

- Tu veux faire quoi comme métier ?

- Professeur en biologie ou en français. J’hésite encore. Sûrement français.

- Ah cool. C’est ce que je voulais faire au début. Mais j’ai finalement décidé de prendre aussi les branches scientifiques. J’avais assez de facilités pour ça.

- Moi je ne pourrais jamais. Je galère trop en maths et en chimie.

- Pourtant ce matin, tu avais l’air d’avoir bien compris et pas mal de facilité.

- Parce que j’ai déjà étudié ce sujet. Mais autrement, je ne comprends pas grand chose.
- Au pire, tu me demandes. Je t’expliquerais.
- Merci. Non parce qu’il y a des trucs, j’ai beau essayer de comprendre, j’y arrive pas.
- De rien, ça me fait plaisir. »

Une nouvelle fois la sonnerie retentit. Tout le monde s’installe.

 

« Bon vous risquez de me détester, mais je tiens à préciser que c’est Loïc qui me l’a demandé. Pour cette période de français, vous allez faire une expression écrite. Et vu que vous étudiez Victor Hugo ces temps-ci, le tyran qui vous sert de prof a décidé de vous faire écrire un poème. J’ai essayé de le convaincre de ne pas le faire. Mais autant essayer d’apprendre le chinois à un escargot. » 

 

Je souris devant les têtes dégoutées et les regards haineux lancés en direction de Loïc.

 

« Je ne demande pas un nombre de pieds précis par vers. Il faut juste que ça rime. Après vous choisissez le sujet, et si vous voulez faire des rimes plates, croisées ou embrassées. Si vous avez besoin d’aide, vous pouvez nous demandez. »

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Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 00:18
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Rencontres

Je me réveille lentement. Je sens quelqu’un me remettre une mèche de cheveux en arrière. Bizarre. J’ouvre les yeux. Je vois Tom en face de moi. Qu’est-ce qu’il fait dans mon lit ? Bon après tout, il fait ce qu’il veut, mais il doit me laisser dormir. Je me relève. Je suis dans le lit de Tom.

Bill – Merde je suis désolé. J’ai dû me tromper de lit quand je suis allé boire.
Tom – Pas de problème.
Bill – Je ne t’ai pas empêché de dormir, au moins ?
Tom – Non, non t’inquiètes pas.
Bill – Quelle heure est-il ? Gus et Georg sont déjà partis ?
Tom – Il est 11h. Et oui, ils sont déjà partis. Ils m’ont réveillé en partant.
Bill – Merde, je voulais leur dire au revoir.
Tom - On leur téléphonera après. J’ai préparé le petit-déj, ça te dit ?
Bill – Oh merci.

Je le serre dans mes bras. Je m’avance vers lui pour l’embrasser sur la joue, mais il tourne la tête, ce qui fait que mes lèvres atterrissent sur les siennes.

Bill – Je te dirais bien que je suis désolé, mais je ne le suis pas vraiment en fait.
Tom – J’ai bien pensé.

Il rougit. Il est trop chou comme ça. On se lève et allons à la cuisine. Il m’a préparé le petit déjeuner !!

Tom – Tu veux quoi à boire ?
Bill – Café au lait, tu as ?
Tom – Oui.

Il en prépare un pour lui, et un pour moi. On mange tranquillement, parlant de tout. C’est vraiment incroyable comme on peut parler pendant des heures, sans silences, sans gêne. On passe d’un sujet à l’autre sans s’en rendre compte. Il n’y a que quand on est tous les deux morts de soif qu’on s’arrête. Et on remarque qu’il est déjà 14h30. On décide de sortir en ville. Je tire Tom de magasin en magasin. J’ai même réussi à lui faire essayer un pantalon cigarette et un T-shirt moulant. En échange, j’ai dû essayer un baggy et un long T-shirt. Ce qu’il n’a pas vu, c’est mon natel sorti juste assez de ma poche pour prendre une photo. En plus il faisait le con, se cambrant, posant comme un mannequin. Je lui ai demandé de me prendre en photo avec le baggy. Je ressemble vraiment à un gamin avec ces habits, contrairement à Tom, pourtant il fait la même taille que moi. Mais j’aime bien. Je lui en emprunterais un, à l’occase.
Après avoir fait le tour de la ville, Tom demande un répit.

Bill – Allez ! S’il te plait, un dernier magasin et on arrête.
Tom – Je demande juste une pause. Je ne sens plus mes pieds, et je meurs de soif. Donc on se pose un moment dans un café, et on y retourne.
Bill – Mouais.
Tom – Je n’ai pas l’habitude de courir dans les magasins, moi.
Bill – Bah je pense bien. Mais ce n’est pas une raison. Ca fait à peine deux heures ! Normalement mes journées shopping durent 5h minimum.
Tom – Moi je préfère de loin courir dans un parc plutôt que dans un magasin, au moment des soldes. Donc je te dis déjà, les soldes avec moi, tu oublies !
Bill – Dommage, j’avais l’intention de te trainer dans un magasin que je suis sûr que tu aurais aimé, mais bon. Tant pis.
Tom – Oh non, t’es méchant … C’est bon t’as gagné. Tu pourras me trainer dans les soldes
Bill – Merci !!

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Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 00:24
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Rencontres

Je suis dans la chambre d’ami, parlant avec Gustav par MSN. J’entends de la musique venant de la chambre de Tom. Je ne sais pas de qui c’est. Mais c’est vraiment bien. Je me lève et me dirige vers la chambre. Je vais lui demander.

J’entre discrètement. Il joue de la guitare et chante doucement. Je m’approche de lui. Je vois une feuille avec des paroles. C’est celles qu’il est en train de chanter. Sauf erreur, il le fait en boucle. Quand je suis arrivé, il finissait le premier couplet. J’attends qu’il recommence et me joint à lui. Je le vois sursauter quand il m’entend, mais il continue à jouer.


Das Fenster öffnet sich nicht mehr
hier drin ist es voll von dir und leer
und vor mir geht die letzte Kerze aus.
ich warte schon ne Ewigkeit
endlich ist es jetzt soweit
da draußen ziehen die schwarzen Wolken auf.

{Refrain :}
Ich muss durch den Monsun
Hinter die Welt
Ans Ende der Zeit bis kein Regen mehr fällt
Gegen den Sturm am Abgrund entlang
und wenn ich nicht mehr kann denk ich daran
Irgendwann laufen wir zusammen
Durch den Monsun

Dann wird alles gut

Ein halber Mond versinkt vor mir
war der eben noch bei dir ?
Und hält er wirklich was er mir verspricht ?
Ich weiss das ich dich finden kann
Hör deinen Namen im Orkan
Ich glaub noch mehr dran glauben kann ich nicht

{Refrain:}
Ich muss durch den Monsun
Hinter die Welt
Ans Ende der Zeit bis kein Regen mehr fällt
Gegen den Sturm am Abgrund entlang
und wenn ich nicht mehr kann denk ich daran
Irgendwann laufen wir zusammen
Weil uns einfach nichts mehr halten kann
Durch den Monsun

Hey !
Hey !

Ich kämpf mich durch die Mächte
hinter dieser Tür
werde sie besiegen
Und dann führn sie mich zu dir

Dann wird alles gut
Dann wird alles gut
Wird alles gut
Alles gut

Ich muss durch den Monsun
Hinter die Welt
Ans Ende der Zeit bis kein Regen mehr fällt
Gegen den Sturm am Abgrund entlang
und wenn ich nicht mehr kann denk ich daran
Irgendwann laufen wir zusammen
Weil uns einfach nichts mehr halten kann
Durch den Monsun
Durch den Monsun

Dann wird alles gut
Durch den Monsun
Dann wird alles gut


Ouah ! je ne savais pas qu’il jouait aussi bien.
Je ne savais même pas qu’il jouait ! Vu que sa guitare n’est habituellement pas dans sa chambre.

 

Bill – Elle est vraiment belle cette chanson. C’est de qui ?

 

Les joues de Tom deviennent rouges.

 

Tom – De moi.

Bill – C’est toi qui as écrit les paroles ?

Tom – Et composé la musique, oui.

Bill – C’est trop beau.

Tom – Merci

Bill – Pourquoi tu ne me l’as jamais dit ?

Tom – Bah je ne pensais pas que ça t’intéresserait. Personne ne les a jamais entendues, même pas Georg.

Bill – Ce n’est pas la seule que tu as fait ?

Tom – Non, il y en a d’autres.

Bill – Tu peux me les jouer ?

Tom – Elles n’ont pas toutes des paroles. En fait, je crois que c’est la seule. Je préfère jouer de la guitare qu’écrire.

Bill – Ce n’est pas grave. Tu veux bien me les jouer quand même ?

Tom - Bien sûr

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Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 02:50
- Par x-DDM-th-x

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DeviantArt de l'artiste : Lykan83

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