Fiction - Rencontres

Mardi 14 décembre 2 14 /12 /Déc 17:30
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Rencontres

Après avoir mangé, nous nous sommes posés sur la terrasse. Il faisait déjà chaud. Bon, Il était presque midi, aussi. Nous discutions de tout, le MP3 de Georg réglé à mi-volume. Tom faisait le con, dansant sur les slows ou faisant de l’air-guitare. J’avais attaché mes cheveux, ayant la flemme de me coiffer. Sauf que Tom s’amuse à me prendre mon élastique et me décoiffer. A chaque fois que je le lui reprenais, il me le volait à nouveau, jusqu’à ce que je me décide de lui courir vraiment après. Et à force de courir, il s’est étalé sur un des poufs-matelas. Je me jette sur lui.

Bill – Rends le moi !!
Tom – Rêve Billou.

Je suis à califourchon sur lui. Je lui bloque les poignets au dessus de la tête. Et là, c’est le drame, comme dirait l’autre. J’essaie de faire genre y’a rien, mais je suis sûr qu’il le sent très bien. Je prends ses deux poignets dans une seule main, et glisse l’autre dans sa poche, où se trouve le dit élastique. Je m’approche de son visage.

Bill – Un jour, tu me paieras cette coupe que tu m’as faite. Je te le jure.
Tom – Ouh, Billou me menace. J’ai peur, au secours.

Je glisse mon élastique autour de mon poignet, et me lève.

Bill – Bon moi je vais me doucher.
Tom – OK moi aussi je vais y aller.

J’avais commencé à m’éloigner. Je me retourne. Il s’était relevé.

Bill – Pardon ?
Tom – Non mais après toi je veux dire.
Bill – Avoue que tu en meurs d’envie
Gustav – Tu m’as caché ça, Tom !
Georg – Même à moi tu me l’as caché ! Je suis vexé à mort, là.
Tom – Non ce n’est pas du tout ce que vous pensez. Non … mais …
Bill – Ce n’est pas bien de mentir, Tom. Je suis sûr que tu vas me rejoindre dès que tu pourras. Je vois que tu en as envie.
Tom – Pas vraiment. Par contre un câlin, je veux bien.

Chiant au possible celui-là. Bon, je cherche un peu aussi. Je vais vers lui, le serre dans mes bras et l’embrasse sur la joue. Je peux enfin aller me doucher.

 


image prise sur Allegator 

 

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Samedi 29 janvier 6 29 /01 /Jan 15:13
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Rencontres

Gustav et Georg devaient bientôt rentrer en Allemagne. Tom et moi ne nous préoccupions pas des dates, faisant tous les deux des cours par correspondances et nos premiers cours nous étaient envoyés qu’en novembre. Mais les GG’s devaient reprendre les cours dans une semaine. On avait préparé une mini-fête d’adieu. Pasta party. Tom avait cuit les pâtes tandis que je préparais les sauces. Les GG’s discutaient sur la terrasse. On mangea, rigolant à chaque fois qu’un de nous quatre se mettait de la sauce partout. Gustav et Georg proposèrent un Action ou Vérité. Ils ont prévu le coup. Je sens que je vais être cuisiné, ca va être l’horreur. Nous étions sur la terrasse et j‘avais la tête posée sur les cuisses de Tom. Il s’amusait avec une mèche de mes cheveux.

 

Gustav - Qui veut commencer ?
Georg - Je commence ! Alors Bill, action ou vérité ?
Bill - Vérité
Georg - As-tu déjà embrassé un mec sur la bouche ?
Tom - Ca commence fort !
Bill - Ca dépend.
Tom - De quoi ?
Bill - Avec ou sans la langue ?
Gustav - Bah dis nous pour les deux !
Bill - Oui.

Tom – Oui pour quoi ?

Bill – Bah les deux. A moi ! Gustav ?
Gustav - Action !
Bill – Danse de manière sexy !
Gustav – Bill, je te déteste.

 

Je mis une musique où il est assez facile de danser dessus. Après le refrain, il s’arrêta de danser.

 

Gustav - Bon on va arrêter le massacre. Alors … Tom ! Action ou vérité ?
Tom - Allez action !
Gustav - Embrasse Bill sur la bouche !
Tom - Quoi ???
Gustav – Oh allez ! Ce n’est pas grand-chose. Je l’ai déjà fait une fois. Et c’est juste un smack.
Tom – Et si Bill ne veut pas ?

Bill – Ca ne me gênes pas plus que ça. Et après avoir smacké Gustav …
Gustav – Sympa. Mais bon, on dirait que tu n’a plus le choix, Tom.

Tom – Ok, ok.

 

Je m’asseye. Il s’approche de moi, et commence à m’embrasser. Je vais en profiter. Je passe une de mes mains dans sa nuque et passe ma langue sur sa lèvre inférieure. Il entrouvre ses lèvres, et sa langue vient caresser la mienne. Tom s’éloigna après un moment. Je me réinstallai sur les cuisses de Tom.

Georg - Alors ?
Bill - Alors quoi ?
Georg- C'était avec ou sans la langue ?
Tom - Avec et je dois dire que Bill embrasse super bien !
Bill - Toi aussi tu embrasses bien pour quelqu’un qui ne voulait pas au début, qui a quasiment été forcé.
Tom – Chut. C'est à moi donc ? Bon Georg action ou vérité ?
Georg - Vérité !
Tom - Avec combien de miss t'a couché ? Tu n’as jamais voulu me dire exactement.

 

Georg déglutit.


Bill - Quoi ? Nan pas toi, le grand dragueur !
Georg - Si
Gustav - quelqu'un peut m'expliquer ?
Bill – Ne me dit pas que t'es encore puceau ?
Georg – Si.
Tom - Je ne le crois pas ! Pourquoi tu ne me l’as jamais dit ?

Georg – C’est gênant, tu peux comprendre !
Gustav - Toi ! Encore puceau ! Et ben première nouvelle !!!
Georg - Rooo ça va ! A moi ! Tom ?
Tom - Vérité
Georg - Est-ce qu'un mec t'a déjà fait des avances ?
Tom - Oui. Deux fois. La première fois à une fête, la deuxième fois, bah en fait j’ai un peu l’impression que Bill …

 

Je le frappais dans le ventre.

 

Bill – Ca ne va pas ! Je ne te drague pas.

Tom – Je plaisante Billou. Je sais bien que tu ne me drague pas. Quoique …

 

Je lui redonne un coup dans le ventre.

 

Georg – C’est vrai que, des fois, c’est un peu louche. Genre le lendemain de votre anniversaire, ou maintenant. Mais après tu fais ce que tu veux.  
Tom- Bon continuons. Bill ?
Bill - Vérité
Tom - T'es tu déjà fais choper pendant que tu faisais l'amour ?
Bill - Oui.
Gustav - Vas-y raconte !
Bill - C'était le soir d'Halloween. J'étais avec mon ex et on le faisait dans un immeuble abandonné quand des gamins sont arrivés car le grand frère d'un des mioches voulaient leur faire peur et avaient choisi le seul immeuble abandonné auquel on puisse accéder. On venait d’arriver, mais bon.
Georg - Trop la dèche !
Bill - Je sais … Bon Georg. Action ou vérité ?
Georg - Je sens que je vais le regretter mais action.

Bill – Hm, imite une danseuse étoile.

 

Il était ridicule. Mais il a quand même exécuté son action. On a continué de jouer encore un moment puis on est allé se coucher. Je dormais chez Tom depuis la fête et il m’avait proposé il y a quelques temps de qu’on devienne colocataire. J’avais accepté avec plaisir. On a téléphoné hier au proprio pour arranger. Vu que c’est le même proprio pour nos deux apparts, ce sera vite réglé. Enfin, s’il accepte. Parce qu’il hésite encore un peu.
Je meurs de soif. Je me lève et descends à la cuisine me servir un verre d’eau. Je suis juste mort. Je remonte dans la chambre et me couche dans mon lit.

 


image prise sur Allegator

 

 

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Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 00:18
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Rencontres

Je me réveille lentement. Je sens quelqu’un me remettre une mèche de cheveux en arrière. Bizarre. J’ouvre les yeux. Je vois Tom en face de moi. Qu’est-ce qu’il fait dans mon lit ? Bon après tout, il fait ce qu’il veut, mais il doit me laisser dormir. Je me relève. Je suis dans le lit de Tom.

Bill – Merde je suis désolé. J’ai dû me tromper de lit quand je suis allé boire.
Tom – Pas de problème.
Bill – Je ne t’ai pas empêché de dormir, au moins ?
Tom – Non, non t’inquiètes pas.
Bill – Quelle heure est-il ? Gus et Georg sont déjà partis ?
Tom – Il est 11h. Et oui, ils sont déjà partis. Ils m’ont réveillé en partant.
Bill – Merde, je voulais leur dire au revoir.
Tom - On leur téléphonera après. J’ai préparé le petit-déj, ça te dit ?
Bill – Oh merci.

Je le serre dans mes bras. Je m’avance vers lui pour l’embrasser sur la joue, mais il tourne la tête, ce qui fait que mes lèvres atterrissent sur les siennes.

Bill – Je te dirais bien que je suis désolé, mais je ne le suis pas vraiment en fait.
Tom – J’ai bien pensé.

Il rougit. Il est trop chou comme ça. On se lève et allons à la cuisine. Il m’a préparé le petit déjeuner !!

Tom – Tu veux quoi à boire ?
Bill – Café au lait, tu as ?
Tom – Oui.

Il en prépare un pour lui, et un pour moi. On mange tranquillement, parlant de tout. C’est vraiment incroyable comme on peut parler pendant des heures, sans silences, sans gêne. On passe d’un sujet à l’autre sans s’en rendre compte. Il n’y a que quand on est tous les deux morts de soif qu’on s’arrête. Et on remarque qu’il est déjà 14h30. On décide de sortir en ville. Je tire Tom de magasin en magasin. J’ai même réussi à lui faire essayer un pantalon cigarette et un T-shirt moulant. En échange, j’ai dû essayer un baggy et un long T-shirt. Ce qu’il n’a pas vu, c’est mon natel sorti juste assez de ma poche pour prendre une photo. En plus il faisait le con, se cambrant, posant comme un mannequin. Je lui ai demandé de me prendre en photo avec le baggy. Je ressemble vraiment à un gamin avec ces habits, contrairement à Tom, pourtant il fait la même taille que moi. Mais j’aime bien. Je lui en emprunterais un, à l’occase.
Après avoir fait le tour de la ville, Tom demande un répit.

Bill – Allez ! S’il te plait, un dernier magasin et on arrête.
Tom – Je demande juste une pause. Je ne sens plus mes pieds, et je meurs de soif. Donc on se pose un moment dans un café, et on y retourne.
Bill – Mouais.
Tom – Je n’ai pas l’habitude de courir dans les magasins, moi.
Bill – Bah je pense bien. Mais ce n’est pas une raison. Ca fait à peine deux heures ! Normalement mes journées shopping durent 5h minimum.
Tom – Moi je préfère de loin courir dans un parc plutôt que dans un magasin, au moment des soldes. Donc je te dis déjà, les soldes avec moi, tu oublies !
Bill – Dommage, j’avais l’intention de te trainer dans un magasin que je suis sûr que tu aurais aimé, mais bon. Tant pis.
Tom – Oh non, t’es méchant … C’est bon t’as gagné. Tu pourras me trainer dans les soldes
Bill – Merci !!

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Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 00:24
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Rencontres

Je suis dans la chambre d’ami, parlant avec Gustav par MSN. J’entends de la musique venant de la chambre de Tom. Je ne sais pas de qui c’est. Mais c’est vraiment bien. Je me lève et me dirige vers la chambre. Je vais lui demander.

J’entre discrètement. Il joue de la guitare et chante doucement. Je m’approche de lui. Je vois une feuille avec des paroles. C’est celles qu’il est en train de chanter. Sauf erreur, il le fait en boucle. Quand je suis arrivé, il finissait le premier couplet. J’attends qu’il recommence et me joint à lui. Je le vois sursauter quand il m’entend, mais il continue à jouer.


Das Fenster öffnet sich nicht mehr
hier drin ist es voll von dir und leer
und vor mir geht die letzte Kerze aus.
ich warte schon ne Ewigkeit
endlich ist es jetzt soweit
da draußen ziehen die schwarzen Wolken auf.

{Refrain :}
Ich muss durch den Monsun
Hinter die Welt
Ans Ende der Zeit bis kein Regen mehr fällt
Gegen den Sturm am Abgrund entlang
und wenn ich nicht mehr kann denk ich daran
Irgendwann laufen wir zusammen
Durch den Monsun

Dann wird alles gut

Ein halber Mond versinkt vor mir
war der eben noch bei dir ?
Und hält er wirklich was er mir verspricht ?
Ich weiss das ich dich finden kann
Hör deinen Namen im Orkan
Ich glaub noch mehr dran glauben kann ich nicht

{Refrain:}
Ich muss durch den Monsun
Hinter die Welt
Ans Ende der Zeit bis kein Regen mehr fällt
Gegen den Sturm am Abgrund entlang
und wenn ich nicht mehr kann denk ich daran
Irgendwann laufen wir zusammen
Weil uns einfach nichts mehr halten kann
Durch den Monsun

Hey !
Hey !

Ich kämpf mich durch die Mächte
hinter dieser Tür
werde sie besiegen
Und dann führn sie mich zu dir

Dann wird alles gut
Dann wird alles gut
Wird alles gut
Alles gut

Ich muss durch den Monsun
Hinter die Welt
Ans Ende der Zeit bis kein Regen mehr fällt
Gegen den Sturm am Abgrund entlang
und wenn ich nicht mehr kann denk ich daran
Irgendwann laufen wir zusammen
Weil uns einfach nichts mehr halten kann
Durch den Monsun
Durch den Monsun

Dann wird alles gut
Durch den Monsun
Dann wird alles gut


Ouah ! je ne savais pas qu’il jouait aussi bien.
Je ne savais même pas qu’il jouait ! Vu que sa guitare n’est habituellement pas dans sa chambre.

 

Bill – Elle est vraiment belle cette chanson. C’est de qui ?

 

Les joues de Tom deviennent rouges.

 

Tom – De moi.

Bill – C’est toi qui as écrit les paroles ?

Tom – Et composé la musique, oui.

Bill – C’est trop beau.

Tom – Merci

Bill – Pourquoi tu ne me l’as jamais dit ?

Tom – Bah je ne pensais pas que ça t’intéresserait. Personne ne les a jamais entendues, même pas Georg.

Bill – Ce n’est pas la seule que tu as fait ?

Tom – Non, il y en a d’autres.

Bill – Tu peux me les jouer ?

Tom – Elles n’ont pas toutes des paroles. En fait, je crois que c’est la seule. Je préfère jouer de la guitare qu’écrire.

Bill – Ce n’est pas grave. Tu veux bien me les jouer quand même ?

Tom - Bien sûr

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Mardi 3 avril 2 03 /04 /Avr 00:00
- Par x-DDM-th-x - Publié dans : Fiction - Rencontres

Nous sommes en train de déménager mes affaires. Le propriétaire a été d’accord pour que nous devenions colocataires. Il s’occupe de tous les papiers. Il nous a même conseillé de nous installer dans l’appart de Tom, vu qu’il est plus grand et moins cher. Et plus injuste encore, il y a une douche italienne, porte en verre et tout le tralala, alors que chez moi, il n’y a qu’une misérable cabine old-school. Je suis en train de mettre mes habits dans un carton, tandis que Tom défait les meubles du salon. Le canapé, la bibliothèque et la table basse. J’ai presque fini. Plus que deux étagères. J’irais aider Tom après.

J’entends soudain Tom crier. Je me précipite au salon. Tom est assis par terre, les manuels pour défaire les meubles étalés devant lui.

 

Bill – Ca va ? Tu as mal ?

Tom – Ah putin ca fait trop mal !!

 

Il secoue la main, réflexe idiot pour enlever la douleur.

 

Bill – Qu’est-ce que tu as ?

 

Je m’agenouille à coté de lui et prend sa main dans les miennes pour voir où il est blessé.  Il a une coupure assez profonde dans la paume.

 

Bill – Putin comment tu as fait pour te couper aussi profondément ?

Tom – Avec ces merdes de manuels. Je cherchais celui pour la table basse, et ils m’ont glissés des mains.

 

Je souris. Ces coupures de papier qui, même toutes petites, font un mal de chien. Je me lève et vais chercher la trousse de secours. Je désinfecte la blessure. De sa main libre, il se tient à mon bras. Ce désinfectant brûle. Mais je n’ai rien d’autre. Je prends du sparadrap en spray en en mets sur sa coupure. Quand c’est fait, je remets tout dans la trousse.

 

Tom – Merci.

Bill – De rien, c’est normal.

 

Je relève la tête. Je n’avais pas remarqué que j’étais aussi près. Beaucoup trop près. On se regarde dans les yeux, même si je jette des coups d’œil sur ses lèvres. Nous ne bougeons pas pendant quelques secondes. Puis je m’avance et réunit nos lèvres. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris.

Tom ne réagit pas tout de suite, trop surpris. Puis se recule précipitamment.

 

Bill – Désolé, je n’aurais pas dû.

Tom – Effectivement tu n’aurais pas dû. Je ne suis pas comme ça ! Je … Je suis désolé. Je sais que c’est aussi un peu de ma faute. Je n’aurais pas dû t’encourager en réclamant des câlins.

Bill – Ca n’a rien à voir, tu le sais très bien. Je fais tout le temps des câlins à Gustav. Mais nous …

 

Il commence à me crier dessus.

 

Tom – Arrête ! Il n’y a pas de nous. Il n’y en aura jamais. Je ne suis pas … Je ne suis pas comme ça. Je ne suis pas comme toi !! Alors arrête !

Bill – Je dois arrêter quoi ? D’essayer de te rendre heureux, car je suis ton ami et que je veux que tu le sois ?

Tom – Tu dois arrêter de me prendre dans tes bras sans raison. Tu dois arrêter de m’embrasser, même sur la joue. Tes sourires, tes regards. Tous ces gestes d’affections qui me rendent malade !!

Bill – Tu préférerais qu’on ne vive pas ensemble en fait, c’est ça ?

Tom – Je crois que … ça vaudrait mieux, oui. Mais je ne le fais pas par plaisir.

Bill – D’accord. Fais comme tu veux. Retourne avec tes pouffiasses blondes à grosse poitrine qui ne demandent qu’à être sautées. Je n’en ai plus rien à foutre. Et si un jour tu as besoin d’affection, n’essaye même pas de revenir.

 

Il bloque. Il ouvre la bouche mais ne dit rien. Il sort de l’appart en claquant la porte. Je soupire. Comment ruiner son bonheur en 2 minutes, par Bill Kaulitz.

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